Bonjour,
Je me permets de poster ici un résumé de ma présentation faite il y a peu dans la partie Groupe A, avant de vous donner quelques nouvelles :
Je vous lis depuis peu, et j'ai suivi, grosso modo, le régime du groupe A pendant un mois.
Le livre m'a fascinée comme une évidence ; j'ai surtout évité le très mauvais, essayé de manger régulièrement les aliments positifs... tout cela sans stress, et pas dans le but de maigrir.
Il valait mieux d'ailleurs car je n'ai pas perdu un gramme ; les changements à faire dans le choix des céréales m'ont déboussolée et du coup, fait mangé plus de pain qu'à mon habitude.
Un effet positif assez spectaculaire pour moi, c'est l'amélioration pour ma peau. Je souffre d'un vieil acné kystique qui n'a été vaincu que par la vitamine A acide, et m'ennuie encore un peu. Depuis que je suis le RGS A, ma peau s'est radicalement améliorée et ceci depuis un mois, donc pas un simple mieux. C'est un effet que je n'avais pas prévu mais qui est très agréable. Je ne me maquille quasi plus du tout (sauf les yeux) car ma peau n'en a plus besoin malgré mes 50 ans passés.
Enfin, j'ai remarqué qu'il m'arrivait toujours de me sentir lourde, et je me suis interrogée sur l'influence du groupe O (ma mère est A, mon père O) présent dans mon ascendance immédiate. Cela m'a conduite à lire le livre des GénoTypes. Ce qui m'avait paru farfelu, m'a semblé très clair et répond sûrement à mes interrogations. J'ai donc tout récemment décider de suivre le RGT qui répond mieux à mes besoins, je pense.
Je suis Guerrier finalement.
Je veux perdre dix kilos car j'ai doucement dérivé et je ne supporte plus mes bourrelets.
Mon compagnon est Nomade.
[color=#4000BF]
Après un autre petit mois de régime Guerrier, je fais le point.
Comme souvent, et comme beaucoup en témoignent ici, je suis allée plus mal avant d'aller mieux.
Je n'avais pas vécu cela avec le RGS mais les ballonnements suite au passage Guerrier, ont été spectaculaires. Les douleurs ont commencé comme un lumbago pour s'approcher de ce que j'ai connu lors de plusieurs crises de coliques néphrétiques. Je n'ai pas paniqué car la douleur était moins aïgue mais à aucun moment je n'ai pensé à une conséquence d'un écart. J'ai passé plusieurs jours mal à l'aise pour quasi me bloquer et passer le Réveillon de Noël allongée parmi les manteaux des invités sur un lit... Impossible d'évacuer les gaz. Et puis, tout est rentré dans l'ordre, presque subitement, et je tiens une grande forme.
J'ai compris ma leçon ; surtout pas trop d'écarts.
Je m'abstiens de viande quasi totalement car c'était déjà ma manière de manger ; une entorse parfois pour du carpaccio mais les portions sont petites. La mauvaise haleine suit, donc ça calme.
Laitages : c'est un peu plus dur ; mais là aussi, je sais depuis longtemps que le fromage et moi ne font pas bon ménage surtout si associés aux protéines animales. Je m'efforce de ne pas craquer. Un yaourt ou du fromage blanc de temps en temps. Récemment, j'ai réussi à arrêter le beurre et la crême que j'adore. Je n'aime pas le lait mais avec mon café, c'était obligé. Tant pis, je viens d'opter pour le lait d'amandes.
J'adapte le régime au fur et à mesure que je parviens à mémoriser la liste. Vos idées de menus m'aident beaucoup.
Je viendrai vous lire souvent... Merci d'être là.