Et surtout, je crois, qu'il faut absolument
varier l'alimentation.
Parce qu'un aliment qui n'est pas spécialement favorable, si on n'en consomme qu'occasionnellement, ne fera pas de dégâts si par ailleurs on consomme systématiquement les aliments "TB" comme on dit ici.
Je pense même qu'au contraire, si occasionnellement le corps a l'occasion de se frotter à un "ennemi", il va garder une capacité à se défendre, comme c'est le cas pour les contacts avec les virus et autres.
Personnellement, je ne fais pas une fixette sur les "interdits" (à part le blé, dont on voit bien qu'on a atteint un point limite qui semble provoquer de plus en plus d'intolérances voire d'allergies… et que j'ai complètement supprimé!
), mais je veille à fortifier mon terrain — dont je commence à comprendre pourquoi il est si incroyablement "résistant"…
— en consommant un maximum de choses "bonnes pour lui".
Et je constate qu'avec cette démarche, je retrouve de l'énergie, j'ai dégonflé très rapidement, et je recommence à être dynamique. Pour la perte de poids, c'est pas encore ça, mais je prends mon temps, je teste petit à petit. Je ne veux pas (et je ne peux pas, d'ailleurs) bouleverser ma vie ni mon organisme, sans savoir où je vais.
Au fait, il semblerait que je sois assez vraissemblablement "cueilleur", mais je ne m'étalerai pas sur les raisons de cette présomption.