***Phanie***
Posté: Lun 03 Mai 2010, 17:54Bien le bonjour à vous tous qui me lirez! (si vous êtes courageux, car je vais vous écrire une longue "tartine" comme je sais si bien le faire) 
Je me présente, je m'appelle Stéphanie (Phanie pour les intimes
), 26ans, petite Belge de Bruxelles (mais originaire de la province de Liège).
Je suis du groupe 0-, je n'ai pas encore fait le test de Lewis ni celui du GenoType.
Pourquoi le régime groupe sanguin? Pour être honnête, je ne sais plus exactement comment j'en suis venue à lire un article du Dr D'Adamo sur internet il y a une semaine. Enfin si, je sais que je recherchais des infos sur une alimentation équilibrée, basée sur un principe "santé".
Le lendemain, direction la FNAC. J'y ai acheté le bouquin "4groupes sanguins, 4régimes". Depuis, il ne me quitte pas et je suis sans arrêt à regarder ma liste d'aliments au supermarché, lorsque je fais mes courses. Bien que j'ai réellement commencé le régime il y a maintenant 3jours.
Maintenant, je vais vous raconter mon "histoire"... afin de vous faire comprendre comment j'en suis venue à me soucier de mon alimentation.
J'ai toujours été d'un tempérament anxieux, je suis perfectionniste,... Bref. Depuis l'âge de 4ans, je joue du violon. MON GRAND BONHEUR ET MA GRANDE FIERTÉ. Tout le monde m'admirais, moi j'étais fière (de moi et de plaire), j'en ai toujours exigé plus quant à mes performances. Ma scolarité s'est passée normalement même si je suis entrée au Conservatoire Royal de Bruxelles alors que je n'avais que 13ans. J'ai mené les deux de front. Jusqu'à l'obtention de mon bac latin/bio/langues. Cela n'a pas été facile, mais mon caractère et ma motivation pour n'avoir ENFIN plus à aller à l'école m'ont aidée à y arriver.
Une fois le bac en poche, je suis venue vivre seule ici à Bruxelles. J'avais 17ans. Je croyais qu'enfin j'allais mener la vie dont j'avais toujours rêvé d'avoir; plus de parents dans les pattes, plus de soeurs pour m'embêter, plus d'école... que du violon, encore du violon, toujours du violon.
Contre toute attente de ma part; ce milieu élitiste m'a profondément déçue. L'obsession de devenir "la meilleure" a remplacé ma passion pour l'instrument. Ma vie en solo n'était pas aussi facile, j'étais triste, je n'avais personne à qui parler de ma détresse quand à ma "prise de conscience" que peut-être j'avais envie de changer d'études... J'ai commencé à faire des crises de boulimie.
Très vite j'ai pris 8kilos. Mais ayant toujours été mince, j'ai été perturbée par cette prise de poids et c'est alors que je ne sais comment ni quand ni pourquoi il m'est pris l'idée de me faire vomir. Ce que j'ai fait. Et si j'avais su dans quel cercle vicieux cela allait me mener; JAMAIS ô grand JAMAIS je n'aurais vômi cette première fois... Même à ma pire ennemie, je ne lui souhaiterai pas de tomber dans les troubles alimentaires... un ENFER.
Pour moi, à cette époque, c'était tout simplement génial! Je pouvais faire mes orgies alimentaires tout en reperdant les kilos pris (et éviter d'en reprendre, surtout!)! Le tout en cachette, dans mon studio, loin de tout le monde, de la pression, et du reste. Je pense que ça me soulageait et je n'avais absolument pas conscience de ce dans quoi je m'enfonçais. (Si j'avais su...)
C'est avec des pieds de plomb que j'ai terminé mon année au Conservatoire. Ahhhhhh oui, quel beau diplôme avec mention et 98% que j'ai eu. Tout le monde en était fier. Sauf MOI!
Je m'en fichais... j'étais juste contente que c'était terminé. J'étais plus préoccupée par mon trouble que par le reste. Petit à petit, cette deuxième vie prenait plus de place, je me détruisais et m'isolais... Mais toujours je donnais une bonne image de moi!
Un grand sourire, de l'humour et une bonne humeur à revendre. Aucune faille dans mon travail, ni point de vue physique. Personne ne pouvait se douter de rien; personne ne pouvait imaginer l'enfer que je vivais pourtant...
Première VRAIE prise de conscience; j'ai un problème. Je dois ABSOLUMENT arrêter de me faire vomir.
Mon diplôme de Conservatoire en poche, je suis revenue vivre chez mes parents. Je leur ai avoué que je voulais reprendre d'autres études en septembre. Bien-sûr ils n'ont pas compris, mais m'ont encouragé à le faire car depuis longtemps ils craignaient que la musique ne soit pas le meilleur boulot que je puisse faire. Mais ils m'ont toujours laissé choisir et encouragée peu importe mon choix (j'ai, en effet, de super parents!).
Seul hic... chez eux, je n'allais plus faire mes repas d'ogres, encore moins vomir... Résultat: 1pomme, 1tomate, 1yaourt par jour, rien de plus.
"Je veux juste perdre les quelques kilos que j'ai pris en kot, pour les vacances, puis j'arrête", avais-je promis à mes parents pour qu'il me laissent faire et arrêtent de me faire des remarques.
Ensuite, j'ai commencé à ne plus manger à table avec eux, à ne plus aller manger chez ma grand-mère les dimanche; j'évitais toute tentation de nourriture.
La torture; la catastrophe même si je mangeais 1grain de riz de plus que ce que je n'avais "planifié".
Août 2003; CATASTROPHE. 25Kg pour 1m56... Mes parents n'en peuvent plus, ne veulent plus se taire, ni se laisser manipuler par mes pleurs et mes promesses, ne supportent plus mon déni et mes mensonges: ils contactent le Professeur S. Suite à cette dispute, je fais un malaise cardiaque; le professeur S. me fait immédiatement transférer de l'hôpital à son service dans un centre spécialisé en troubles alimentaires réputé ici en Belgique.
2004-2005; sortie de l'hôpital - retombée à 35kg 2mois plus tard, nouveau malaise cardiaque (eh oui; j'ai failli y passer une fois encore...)retour à l'hôpital (bis) - (bis). Je ne comprends pas pourquoi je suis malade! Je ne veux pas mourir! Jamais je n'ai eu une idée noire... Je crois juste que c'est mon âme qui a faim... Je ne touche plus à mon violon, j'en pleure... Je n'arrive plus à le prendre et jouer; mais "je l'aime"... Je ne sais pas pourquoi je lui attribue mon mal-être...
Pour moi, sortir de l'anorexie-boulimie était un combat au quotidien, une lutte perpétuelle avec MOI-même.
2005; je rencontre un homme; de Suisse, vivant à Zurich. Coup de foudre. Deux semaines plus tard, j'étais là-bas, je vivais avec lui. Reprise de poids "naturelle", je mangeais comme avant la maladie, j'étais épanouie, loin de tous ceux qui me voyaient comme un "violon sur patte" ou qui m'avaient collé l'étiquette d'anorexique... Je revivais!!! Je recommençais à être fière de moi.
2007; Il m'a trompée. Profonde déception. Je ne le dis pas à mes parents qui m'auraient dit de le quitter et rentrer en Belgique... Mais PAF, revoici Madame Ano. Je n'arrivais plus à manger, je n'avais plus confiance en lui, le rêve était brisé...
Visite de mes parents pour mon anniversaire en décembre; le choc. Après 2ans de poids stabilisé à 47Kg, je n'en pesais de-nouveau plus que 33...
Retour en Belgique, retour à l'hôpital le lendemain... Reprise du combat avec ma petite personne, mais en étant beaucoup plus forte, déterminée. Cette fois, je me battais pour moi, et pas "pour mes parents", ni "parce qu'il le fallait"...
Janvier 2009, je sors de l'hôpital. J'ai trouvé un chouette studio à Bruxelles, j'ai "oublié" le mal que F. m'a fait (car la joie et le bonheur que j'ai eu avec lui a plus d'importance à mes yeux que tout le reste).
J'ai repris ma vie en mains. J'ai aussi retrouvé la foi.
Je me suis efforcée de faire 4repas et 2collations par jour.
Je rejoue du violon par plaisir de temps en temps, j'ai même joué ce 10avril en public pour le mariage de ma grande soeur (la première fois depuis mon arrêt aux alentours de 2004). J'y ai pris du plaisir, j'ai été satisfaite malgré tout, et... j'ai
fait pleurer tout le monde! hehehe
J'ai repris des formations professionnelles en informatique et en langues. J' envisage maintenant de reprendre des études supérieures en septembre.
Vivant seule, j'ai privilégié pendant un an les sandwiches garnis de la boulangerie le midi, un repas traiteur ou en brasserie le soir. Les petit déjeuners, goûters et collations, je les achetais également "tout prêts". Mais JAMAIS rien de light, sauf... le cola.
Le seul souci est que je n'aime pas cette façon de manger de tout et n'importe quoi... Pour ma santé, pour mon corps. Pour moi, manger par obligation même quand je n'ai pas faim, "juste pour ne pas perdre de poids",ne me convient pas. Je veux me nourrir pour être en bonne santé, aussi par gourmandise, mais PLUS par gavage.
J'ai donc décidé, voyant que mon poids est maintenant stabilisé, de chercher à manger un peu mieux et de me remettre à cuisiner. C'est en consultant les sites concernant l'alimentation que je suis arrivée ici, comme je l'ai dit pour commencer cette LONGUE présentation.
Voila... Je pense que je vais m'arrêter ici, ou je vais tous vous faire fuir, alors que mon but était juste de me présenter...
Je suis motivée par cette nouvelle façon de me nourrir, et pour être honnête, j'ai toujours aimé la viande/ détesté le lait de vache/ aimé "innover" et découvrir les goûts et les saveurs...
Donc que du positif, si en plus j'arrive à redonner de la vitalité à mon corps qui a ENORMEMENT souffert ces dernières années, et qui n'a jamais vraiment pu être en répit avec ces gavage à l'hôpital, les boulimies et vomissements, restrictions et carences alimentaires, poids yo-yo de +/-15kilos à chaque fois (et vive la cellulite! lol)...
Il est temps pour moi de m'occuper de MOI et de MON CORPS qui, j'espère, sera le mien pour encore une bonne cinquantaine d'années! hehehe
Bises et
aux courageux qui m'auront lue jusqu'au bout 
Je me présente, je m'appelle Stéphanie (Phanie pour les intimes
), 26ans, petite Belge de Bruxelles (mais originaire de la province de Liège).Je suis du groupe 0-, je n'ai pas encore fait le test de Lewis ni celui du GenoType.
Pourquoi le régime groupe sanguin? Pour être honnête, je ne sais plus exactement comment j'en suis venue à lire un article du Dr D'Adamo sur internet il y a une semaine. Enfin si, je sais que je recherchais des infos sur une alimentation équilibrée, basée sur un principe "santé".
Le lendemain, direction la FNAC. J'y ai acheté le bouquin "4groupes sanguins, 4régimes". Depuis, il ne me quitte pas et je suis sans arrêt à regarder ma liste d'aliments au supermarché, lorsque je fais mes courses. Bien que j'ai réellement commencé le régime il y a maintenant 3jours.
Maintenant, je vais vous raconter mon "histoire"... afin de vous faire comprendre comment j'en suis venue à me soucier de mon alimentation.
J'ai toujours été d'un tempérament anxieux, je suis perfectionniste,... Bref. Depuis l'âge de 4ans, je joue du violon. MON GRAND BONHEUR ET MA GRANDE FIERTÉ. Tout le monde m'admirais, moi j'étais fière (de moi et de plaire), j'en ai toujours exigé plus quant à mes performances. Ma scolarité s'est passée normalement même si je suis entrée au Conservatoire Royal de Bruxelles alors que je n'avais que 13ans. J'ai mené les deux de front. Jusqu'à l'obtention de mon bac latin/bio/langues. Cela n'a pas été facile, mais mon caractère et ma motivation pour n'avoir ENFIN plus à aller à l'école m'ont aidée à y arriver.
Une fois le bac en poche, je suis venue vivre seule ici à Bruxelles. J'avais 17ans. Je croyais qu'enfin j'allais mener la vie dont j'avais toujours rêvé d'avoir; plus de parents dans les pattes, plus de soeurs pour m'embêter, plus d'école... que du violon, encore du violon, toujours du violon.
Contre toute attente de ma part; ce milieu élitiste m'a profondément déçue. L'obsession de devenir "la meilleure" a remplacé ma passion pour l'instrument. Ma vie en solo n'était pas aussi facile, j'étais triste, je n'avais personne à qui parler de ma détresse quand à ma "prise de conscience" que peut-être j'avais envie de changer d'études... J'ai commencé à faire des crises de boulimie.
Très vite j'ai pris 8kilos. Mais ayant toujours été mince, j'ai été perturbée par cette prise de poids et c'est alors que je ne sais comment ni quand ni pourquoi il m'est pris l'idée de me faire vomir. Ce que j'ai fait. Et si j'avais su dans quel cercle vicieux cela allait me mener; JAMAIS ô grand JAMAIS je n'aurais vômi cette première fois... Même à ma pire ennemie, je ne lui souhaiterai pas de tomber dans les troubles alimentaires... un ENFER.
Pour moi, à cette époque, c'était tout simplement génial! Je pouvais faire mes orgies alimentaires tout en reperdant les kilos pris (et éviter d'en reprendre, surtout!)! Le tout en cachette, dans mon studio, loin de tout le monde, de la pression, et du reste. Je pense que ça me soulageait et je n'avais absolument pas conscience de ce dans quoi je m'enfonçais. (Si j'avais su...)
C'est avec des pieds de plomb que j'ai terminé mon année au Conservatoire. Ahhhhhh oui, quel beau diplôme avec mention et 98% que j'ai eu. Tout le monde en était fier. Sauf MOI!
Je m'en fichais... j'étais juste contente que c'était terminé. J'étais plus préoccupée par mon trouble que par le reste. Petit à petit, cette deuxième vie prenait plus de place, je me détruisais et m'isolais... Mais toujours je donnais une bonne image de moi!
Un grand sourire, de l'humour et une bonne humeur à revendre. Aucune faille dans mon travail, ni point de vue physique. Personne ne pouvait se douter de rien; personne ne pouvait imaginer l'enfer que je vivais pourtant...
Première VRAIE prise de conscience; j'ai un problème. Je dois ABSOLUMENT arrêter de me faire vomir.
Mon diplôme de Conservatoire en poche, je suis revenue vivre chez mes parents. Je leur ai avoué que je voulais reprendre d'autres études en septembre. Bien-sûr ils n'ont pas compris, mais m'ont encouragé à le faire car depuis longtemps ils craignaient que la musique ne soit pas le meilleur boulot que je puisse faire. Mais ils m'ont toujours laissé choisir et encouragée peu importe mon choix (j'ai, en effet, de super parents!).
Seul hic... chez eux, je n'allais plus faire mes repas d'ogres, encore moins vomir... Résultat: 1pomme, 1tomate, 1yaourt par jour, rien de plus.
"Je veux juste perdre les quelques kilos que j'ai pris en kot, pour les vacances, puis j'arrête", avais-je promis à mes parents pour qu'il me laissent faire et arrêtent de me faire des remarques.
Ensuite, j'ai commencé à ne plus manger à table avec eux, à ne plus aller manger chez ma grand-mère les dimanche; j'évitais toute tentation de nourriture.
La torture; la catastrophe même si je mangeais 1grain de riz de plus que ce que je n'avais "planifié".
Août 2003; CATASTROPHE. 25Kg pour 1m56... Mes parents n'en peuvent plus, ne veulent plus se taire, ni se laisser manipuler par mes pleurs et mes promesses, ne supportent plus mon déni et mes mensonges: ils contactent le Professeur S. Suite à cette dispute, je fais un malaise cardiaque; le professeur S. me fait immédiatement transférer de l'hôpital à son service dans un centre spécialisé en troubles alimentaires réputé ici en Belgique.
2004-2005; sortie de l'hôpital - retombée à 35kg 2mois plus tard, nouveau malaise cardiaque (eh oui; j'ai failli y passer une fois encore...)retour à l'hôpital (bis) - (bis). Je ne comprends pas pourquoi je suis malade! Je ne veux pas mourir! Jamais je n'ai eu une idée noire... Je crois juste que c'est mon âme qui a faim... Je ne touche plus à mon violon, j'en pleure... Je n'arrive plus à le prendre et jouer; mais "je l'aime"... Je ne sais pas pourquoi je lui attribue mon mal-être...
Pour moi, sortir de l'anorexie-boulimie était un combat au quotidien, une lutte perpétuelle avec MOI-même.
2005; je rencontre un homme; de Suisse, vivant à Zurich. Coup de foudre. Deux semaines plus tard, j'étais là-bas, je vivais avec lui. Reprise de poids "naturelle", je mangeais comme avant la maladie, j'étais épanouie, loin de tous ceux qui me voyaient comme un "violon sur patte" ou qui m'avaient collé l'étiquette d'anorexique... Je revivais!!! Je recommençais à être fière de moi.
2007; Il m'a trompée. Profonde déception. Je ne le dis pas à mes parents qui m'auraient dit de le quitter et rentrer en Belgique... Mais PAF, revoici Madame Ano. Je n'arrivais plus à manger, je n'avais plus confiance en lui, le rêve était brisé...
Visite de mes parents pour mon anniversaire en décembre; le choc. Après 2ans de poids stabilisé à 47Kg, je n'en pesais de-nouveau plus que 33...
Retour en Belgique, retour à l'hôpital le lendemain... Reprise du combat avec ma petite personne, mais en étant beaucoup plus forte, déterminée. Cette fois, je me battais pour moi, et pas "pour mes parents", ni "parce qu'il le fallait"...
Janvier 2009, je sors de l'hôpital. J'ai trouvé un chouette studio à Bruxelles, j'ai "oublié" le mal que F. m'a fait (car la joie et le bonheur que j'ai eu avec lui a plus d'importance à mes yeux que tout le reste).
J'ai repris ma vie en mains. J'ai aussi retrouvé la foi.
Je me suis efforcée de faire 4repas et 2collations par jour.
Je rejoue du violon par plaisir de temps en temps, j'ai même joué ce 10avril en public pour le mariage de ma grande soeur (la première fois depuis mon arrêt aux alentours de 2004). J'y ai pris du plaisir, j'ai été satisfaite malgré tout, et... j'ai
fait pleurer tout le monde! heheheJ'ai repris des formations professionnelles en informatique et en langues. J' envisage maintenant de reprendre des études supérieures en septembre.
Vivant seule, j'ai privilégié pendant un an les sandwiches garnis de la boulangerie le midi, un repas traiteur ou en brasserie le soir. Les petit déjeuners, goûters et collations, je les achetais également "tout prêts". Mais JAMAIS rien de light, sauf... le cola.
Le seul souci est que je n'aime pas cette façon de manger de tout et n'importe quoi... Pour ma santé, pour mon corps. Pour moi, manger par obligation même quand je n'ai pas faim, "juste pour ne pas perdre de poids",ne me convient pas. Je veux me nourrir pour être en bonne santé, aussi par gourmandise, mais PLUS par gavage.
J'ai donc décidé, voyant que mon poids est maintenant stabilisé, de chercher à manger un peu mieux et de me remettre à cuisiner. C'est en consultant les sites concernant l'alimentation que je suis arrivée ici, comme je l'ai dit pour commencer cette LONGUE présentation.
Voila... Je pense que je vais m'arrêter ici, ou je vais tous vous faire fuir, alors que mon but était juste de me présenter...
Je suis motivée par cette nouvelle façon de me nourrir, et pour être honnête, j'ai toujours aimé la viande/ détesté le lait de vache/ aimé "innover" et découvrir les goûts et les saveurs...
Donc que du positif, si en plus j'arrive à redonner de la vitalité à mon corps qui a ENORMEMENT souffert ces dernières années, et qui n'a jamais vraiment pu être en répit avec ces gavage à l'hôpital, les boulimies et vomissements, restrictions et carences alimentaires, poids yo-yo de +/-15kilos à chaque fois (et vive la cellulite! lol)...
Il est temps pour moi de m'occuper de MOI et de MON CORPS qui, j'espère, sera le mien pour encore une bonne cinquantaine d'années! hehehe
Bises et
aux courageux qui m'auront lue jusqu'au bout 
, tous pour un et un pour tous
parmi nous Phanie.