Bonjour!
J'ai dévoré le livre du Dr D'Adamo et j'en profite pour remercier Liliber pour la liste des Aliments A.
Cependant, depuis 48h, je m'interroge: "pourquoi depuis des années ne suis-je attirée pratiquement QUE par les aliments mauvais pour moi?"
Bien sur, je fais aussi le rapport avec le début de certains troubles physiques et le changement d'alimentation survenu quand je suis partie de chez mes parents (anxiété, prise de poids, douleurs un peu partout, angines à répétition et autre)
Cependant, il y a quelques temps, j'ai lu le livre d'Allen Carr ("méthode simple pour perdre du poids") dans lequel il passe 200 pages à nous expliquer les bienfaits d'un mode d'alimentation principalement végétarien, collant -selon lui- le plus à notre mode d'alimentation primitive.
J'avais trouvé l'approche intéressante: selon lui (toujours), notre corps "sait ce qui est bon pour nous"...
Alors pourquoi, la femme A que je suis aime tant le Cappuccino, un bon steak, le saumon fumé, et aime faire d'un demi-camembert et de pain un repas?
Quant aux légumes, j'adore les tomates, les poivrons, le piment! Je suis "bec salé" et "acide" (j'adore le vinaigre, si bien que déjà enfant, j'étais du genre à boire le vinaigre des cornichons! )
J'ai du mal à comprendre comment mon corps, si complexe et intelligent ne m'aide pas via mes récepteurs "sensoriels" (le gout, l'odorat, la vue...) à apprécier les mets qui sont bénéfiques pour moi.
Je ne sais pas si ma question/réflexion est bien placée, mais si l'un ou l'une d'entre vous a un élément de réponse, je serai ravie de le lire...
J'ai lu d'autres messages sur le forum de personnes qui s'interrogeaient sur le fait de devoir se passer d'aliments qu'ils aiment.
Moi, je suis prête à le faire, mais j'ai juste du mal à comprendre pourquoi mes gouts vont totalement à l'encontre de ce dont mon corps à besoin... Serait ce du sado-masochisme mal placé?